Cuisine Anticonformiste : La Facilité de l'Extravagance (sans Effort)

 

L'Odyssée du Tofu au Barbecue: Quand l'Asie rencontre le Québec dans une confusion joyeuse 

Prenez un bloc de tofu de 450g - oui, l'éponge végétale de l'ennui, mais faites-moi confiance - et coupez-le en cubes. Plongez-le ensuite avec audace dans votre sauce à côtes levées préférée, celle qui d'habitude fait pleurer de joie vos morceaux de porc. Faites-le cuire 4-5 minutes, juste assez pour qu'il se dise: «Attends, je suis censé être quoi, là ?»

À côté, préparez la portion «je-fais-semblant-d'être-en-santé»: un peu de laitue romaine (pour la texture), une carotte râpée (pour la couleur, pas la saveur), le tout aspergé d'un filet d'huile d'olive (le lubrifiant de régime), assaisonné de sel et de poivre (pour que ça goûte quelque chose).

Et n'oubliez pas le riz blanc, l'ami neutre et silencieux qui regarde toute cette folie se dérouler sans jamais juger!

Le résultat? Un repas qui prouve que tout peut être saucé et que les végétariens ont aussi le droit d'avoir l'impression de manger un barbecue (si on plisse très fort les yeux).

L'Opération Saumon : La Torréfaction Express des Légumes Stressés 

Prenez un beau morceau de poisson gras (le Saumon, de préférence, car il a l'air riche et important). Assurez-vous qu'il soit bien hydraté pour affronter ce qui l'attend.

Pendant ce temps, préchauffez votre four à 425 °F (une température que seul un volcan trouverait confortable). C'est le moment de la panique pour les légumes!
Sur une plaque, disposez les figurants:

• Les Tomates cerises, prêtes à exploser de stress.
• Les Fèves vertes, qui se demandent pourquoi elles sont là.
• Et surtout, les Quartiers de citron, qui sont là pour surveiller et s'assurer que tout le monde ait l'air frais... jusqu'à ce que la chaleur arrive.

Mettez le tout au centre du four (car le centre, c'est là où l'action se passe). Laissez rôtir ce petit monde de 8 à 10 minutes. C'est le temps parfait pour que les légumes disent: «Il fait CHAUD!» et que le saumon réponde: «Je sais, mais regarde comme on est beaux et brillants!»
Le résultat? Un plat qui a l'air sophistiqué mais qui, en réalité, n'a demandé qu'une crise de chaleur de 10 minutes!

Du saumon (notre superstar de l'Oméga-3), de l’aneth (la petite herbe qui sent l'été et les fjords norvégiens), des haricots verts (les baguettes magiques du jardin), des petites tomates (les mini-ballons de soccer rouges), le zeste d’un citron (l'équivalent d'une petite claque vivifiante pour le poisson), de l’ail (pour éloigner les vampires... ou du moins, le reste de la famille de votre assiette), du sel, du poivre (l'équipe de choc de l'assaisonnement), un filet d’huile (le baume du pêcheur)...

... Et si vous n’êtes pas cœliaque, pourquoi pas accompagner le tout avec de l’orge perlé aux légumes ?!

L'orge perlé... ce n'est pas juste un grain, c'est le gentil cousin du riz qui a fait un effort pour avoir plus de personnalité! Il est là pour donner un air sérieux et robuste à votre assiette, histoire que personne ne pense que vous vous contentez d'un simple «poisson vapeur». C'est le plat qui vous permet de dire: «J'ai cuisiné!», alors qu'en réalité, vous n'avez fait qu'une petite réunion de famille au four!»

***Nous passons au Barramundi, le poisson dont le nom sonne comme un cri de joie australien!***

Le Barramundi Rôti aux Bifteck et ses Patates Déguisées 

Aujourd'hui, on fait un petit tour de passe-passe: on prend le Barramundi, ce poisson exotique et un peu mystérieux, et on lui colle nos Épices à bifteck! Pourquoi? Parce qu'on est audacieux, et que le poisson a le droit, lui aussi, de sentir le barbecue de cowboy!

Pendant que le Barramundi se demande pourquoi il sent le veau grillé, coupez la Russet (la patate qui se prend pour une star) en fines rondelles. On la place sur la grille du centre du four (toujours à l'enfer de 425 °F), avec un petit filet d'huile (pour l'hydratation) et... encore les Épices à bifteck! On cuit ça pendant 20 minutes, jusqu'à ce que les rondelles de patate pensent qu'elles sont de fines tranches de steak croustillant.

On ajoute un peu de verdure (pour faire croire qu'on est équilibré) et une tomate Roma (pour apporter un peu de glamour rouge à l'ensemble).

Et pour l'apothéose: de la Sauce tartare (le meilleur ami crémeux du poisson) qui vient napper tout ça, couronnée d'une pluie de graines de citrouille et de tournesol! Ces graines sont là pour le croquant, et pour vous rappeler que même dans la confusion culinaire, il y a de la vie, du soleil et des choses qui craquent sous la dent!

Bref, c'est le plat qui vous permet de dire: «Ce soir, on mange le bœuf... marin...» sans mentir complètement.